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Surpasser ce besoin d’être aimée et valorisée

Quel meilleur jour que celui-ci, jour de St Valentin, pour faire une rétrospection sur moi-même et vous parlez de la façon dont j’ai surpassé ce besoin vitale d’être aimée et valorisée, que ce soit en amitié ou en amour.

Photo de Hassan OUAJBIR sur Pexels.com

Alors oui, bien sûr, c’est plaisant d’être aimée et valorisée, mais je trouve que c’est plutôt malsain quand c’est un besoin vital. A mon avis, il faut avant tout, apprendre à s’aimer soi-même.

Un célèbre proverbe disait d’ailleurs :

S’aimer soi-même est le début d’une histoire d’amour qui durera toute une vie.

Oscar Wilde

Comment apprendre à s’aimer ?

C’est un travail de longue haleine, qu’il faut faire chaque jour, et qui malgré les éventuelles difficultés apporte un vrai bien-être quand on finit par y arriver et à être capable d’estime de soi.

Apprendre à s’aimer physiquement

Photo de Elina Fairytale sur Pexels.com

Cette partie est sûrement la plus difficile dans cette quête d’amour propre car nous sommes souvent aliéné par les stéréotypes de beauté véhiculés par les magazines, entre autre, et qui nous font penser, à tort, que pour être belle, il faut un corps mince, et une peau parfaite !

Sachez qu’on peut aussi s’aimer avec des vergetures, des kilos en trop et des défauts, qui font de nous une personne unique à part entière !

J’ai eu du mal à le comprendre et à l’accepter surtout mais je me sens tellement plus belle maintenant que quand je rentrais dans du 34. Alors oui, j’ai des formes, non je ne mets pas de vêtements moulants MAIS j’ai appris à m’aimer comme ça et à adapter ma garde robe à ma morphologie, et je suis capable d’être belle et sexy, malgré mon 44 !

Le secret, en tout cas pour moi, a été de comprendre que ces « petits défauts physiques » n’étaient rien de plus que les marques de la vie, les souvenirs que mes enfants ont laissés dans ma peau par exemple, et que même si je n’avais plus le corps de mes vingt ans, je n’avais plus vingt ans, et c’est normal !

J’ai fabriqué deux enfants, j’ai grossi, j’ai maigri, j’ai grandi, et j’ai aussi trouvé dans le tatouage une façon de me réapproprier ce corps que j’avais égoïstement cessé d’aimer !

Apprendre à s’aimer mentalement

Photo de Madison Inouye sur Pexels.com

On a tous des défauts, et on doit vivre avec, mais parfois il faut apprendre à faire de ses défauts des qualités, ou du moins un plus dans notre vie pour nous aider à surmonter des problèmes.

Pour vous aider dans cette démarche, je vous conseille simplement de prendre une feuille et un crayon, de créer deux colonnes, une pour les défauts, une pour les qualités, et de faire une liste de gratitudes et de problèmes que vous avez rencontrés dans vitre vie, puis de faire un bilan de ce que vos qualités et défauts ont apportés dans ces moments de bonheurs, ou dans ces épreuves !

Croyez-moi ça aide vraiment à relativiser et à se rendre compte que même si parfois le mental est en berne, nous ne sommes peut-être pas si malheureux que ça !

Je pense que la principale chose à comprendre et que PERSONNE ne peut nous aimer à notre place et qu’on ne peut pas être heureux si on est dépendant affectif d’une autre personne !

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